Un an déjà que j'ai ouvert mon petit carnet virtuel. Peu d'écrits ont franchi les portes du monde virtuel. Ce n'est pas parce que je n'ai rien à dire, c'est sans doute que je ne juge pas ma production digne d'être diffusée. Et puis les écrits professionnels se retrouvent dans les dossiers du CNAM, les écrits pour le parti socialiste dans ses publications.
Peut-être devrais-je être moins discret pour cette nouvelle année et poser ici toutes les pierres des différentes maisons auxquelles je suis attaché.
En attendant, en ce week-end pluvieux, en tout cas plus vieux que l'an dernier, je souhaite une année 2006 pleine de succès, de plaisirs et de progrès à tous ceux qui me font l'honneur de me lire.
Et que ceux qui rêvent à la régression sous couvert de modernité ou de réforme soient renvoyés dans leurs foyers.
2005 est mort, vive 2006.
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